Le Safran de Cotchia dans les médias en 2010 & 2011


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Vers l'Avenir du 06/08/2011   Ch .T.


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RTC Télévision le 08/08/2011


23/07/2011 La Meuse
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JUILLET 2011
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Photo Léonard Eric dans Wallonie Nouvelle,
Wallonie Nouvelle juin 2011

Le restaurant le plus étoilé du monde

Nous étions inviter par l'opw les 5,6,7 et 8 mai sur la foire au gourmet" Culinaria"a Tour et Taxis, Bruxelles.

Nous représentions la Wallonie avec dix autres artisans.

http://www.culinariabrussels.be/



Le cinq mai sur la rtbf dans l'émission sans Chichis, le Safran de Cotchia s'invite dans un livre de recettes de Mr Gerald Watelet.

 


Merci a Véronique et Carla qui nous ont fait confiance en faisant passer leurs rallye d'anciennes voitures chez nous. 

Organiser par le Rotary de Louvain la Neuve.


Raconte moi ton terroir.

Le défi de manger Belge pendant 365 jours.

L'histoire de Thiebault et Amélie

Du safran 100% belge

mai 1, 2011 Imprimez ce post
[Traduction]

Vous cherchez un peu d’exotisme en Belgique ? Arrêtez-vous alors à la ferme Léonard à Wasseiges, productrice du Safran de Cotchia. Du safran belge, impossible vous nous direz. Et bien détrompez-vous, bien qu’originaire du Moyen-Orient, l’épice la plus chère du monde peut aussi grandir sous nos fraîches latitudes.

L’histoire d’Eric et Sabine n’est pas banale. Après 19 années d’une agriculture traditionnelle, d’une culture de cassis ou encore de leur fameuse boucherie à la ferme, ils décident de faire du safran leur activité principale. Une idée un peu osée dans notre petite Belgique, mais c’est décidé, en 2009, Eric et Sabine se lancent ce nouveau défi.

En 2009, ils rendent une première visite à Véronique Lazerat, la prêtresse française du Safran, mondialement reconnue. Sur ses conseils avisés, Eric et Sabine reviennent en Belgique avec 1200 bulbes de Crocus Sativus, à titre expérimental. La culture semble prendre correctement, il reste juste quelques détails à perfectionner.

Ainsi en 2010, ils suivent une formation, toujours chez Véronique Lazerat, afin d’obtenir un diplôme de safranier. Sûrs de leurs connaissances, Eric et Sabine décident alors de planter cette fois 20.000 bulbes, ce qui devrait leur donner 60g de safran pour la fin de l’année 2011.

L’intérêt pour ce safran est réel. Preuve à l’appui. L’ISPC, une grande société de distribution pour l’HORECA de qualité (HOtel, REstaurant, CAtering), leur a acheté une partie de leur production avant même la récolte. Mais pourquoi ce safran et pas un autre ?

Tout simplement grâce à sa qualité, relativement unique. N’est-ce pas là, la plus belle promesse de réussite, dans un monde où, de plus en plus,  la qualité est détournée au profit de la rentabilité ? Beaucoup n’hésite pas en effet à jouer la carte de l’arnaque au vu des immenses bénéfices possibles lorsque le consommateur est trompé. Comment reconnaître, dès lors, le vrai du faux ?

Le vrai pistil est de couleur rouge sang, sans impureté orange/jaune/beige et est long de 3 à 4,5cm. Le faux pistil est court, avec toutes ces impuretés de couleur différente. Il est même possible de trouver du tabac coloré au paprika ! Faîtes donc attention. Surtout que le safran est rarement vendu en pistil (comme le Safran de Cotchia). Il est plus souvent présenté sous forme de poudre, ce qui permet un frelatage encore plus facile !

Outre ses vertus culinaires, le safran a plus d’une vertu médicinale. Il aiderait à mieux dormir, aiderait le foie les lendemains de veille un peu difficiles. Il serait euphorisant et même aphrodisiaque. On retrouve également la pigmentation du safran dans les peintures de la chapelle Sixtine et dans les tenues du Dalaï-lama qui sont ainsi colorées.

Côté cuisine, si vous utilisez des pistils. Respectez la règle d’or de l’infusion (2 à 3 heures) afin d’obtenir un arôme doux et long en bouche. Attention ne surdosez surtout pas. Trop de safran tue le goût. Une infime quantité suffit… c’est d’ailleurs mieux pour votre porte monnaie. Enfin, vous comprendrez bien que lorsqu’il  faut 150 à 200 fleurs pour faire 1g de safran, soit 150 000 fleurs pour obtenir 1kg, le prix de cette épice soit normalement élevé ! Mais bon quand même, le prix est relatif vu qu’avec 1 g on peut aromatisé jusqu’à 900 macarons ou même assaisonner jusqu’à 150 assiettes ;-)

N’hésitez donc pas à rendre visite à Eric et Sabine. Vous rencontrerez à la ferme Léonard des passionnés de vraie qualité. En plus du safran sous forme de pistils, vous trouverez également des alcools (malt et rhum) et des eaux de vie, aromatisés au Crocus Sativus. Vous retrouverez aussi leurs produits dans les épiceries fines et chez certains cavistes dont la liste se trouve sur leur site internet.

Tentant non ?


Soirée de découverte de nos nouveaux produits par des professionnelles


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7 Dimanche du 16 Janvier 2011
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Safran de Cotchia - Média 2010 -



RTL - JUILLET 2010
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La Meuse
Journaliste:Francoise De Halleux
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Journal Le Soir
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Radio Contact avec Marc Girardy

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Radio RTBF La une

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Journaliste:Driessens Sophie
RTC Télé-Liège - Samedi 31_07_10 18h00 S
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Capital-

Un safran made in Belgium

Agenda CitoyennetéPublié le 6 novembre 2010 à 18 h 00 min

Un safran made in Belgium

Du safran belge, c’est possible ? Eh oui ! Le safran de cotchia est produit à Wasseiges, en Hesbaye, par Sabine et Eric Léonard. C’est une première en Belgique et ça marche, le sol argilo-limoneux de la région apporte en effet au safran un goût fruité et raffiné. Il faut savoir que cette culture est réalisée dans un respect total de la nature, sans engrais ni pulvérisation; qu’il faut 150 fleurs pour produire 1 gramme de safran sec et que le crocus sativus donne une fleur superbe qui ne s’ouvre que deux heures par jour à la fin du mois d’octobre et pendant tout le mois de novembre ! Envie d’en savoir plus ? Sabine et Eric organisent des visites guidées pendant la période de floraison. Pour avoir toutes les infos : www.safrandecotchia.com

Info d’Agenda plus !

fm


Rtbf

Au Quotidien » Jardin » article

 

  Arbustes et safran

12.11.10 - 15:47

Automne ... la saison de la récolte du safran. D'où vient-il ? Du pistil du bulbe du crocus sativus. Et on peut le cultiver en nos contrées, oui, oui ...

La première safranière de Belgique
Le Safran de Cotchia
Sabine et Eric Léonard
Rue de la Walope, 26
4219 Wasseiges
Tél. 081 85 55 39
www.safrandecotchia.com
e-mail : ferme.leonard@gmail.com

Visite guidée le lundi 15 novembre à 13 h 30 (durée 3 h). Prix : 10 € par personne (dégustation de produits safranés incluse).
Inscription préalable souhaitée.

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Journal Le Soir

Du safran au goût liégeois

MELANIE GEELKENS

mardi 09 novembre 2010, 09:56


A Wasseiges, Sabine et Éric Léonard procèdent à la première récolte du safran. Les premiers pots de cette épice précieuse, leur « safran de cotchia » seront vendus dès le mois de décembre.

Du safran au goût liégeois

La première récolte du Safran © Tonneau

REPORTAGE

En chiffres

37 euros

Chaque pot d'un gramme sera vendu chez ISPC à 37 euros. Près de 4 euros plus cher que pour l'or.

3 producteurs

En Belgique, 3 producteurs se sont lancés dans la culture de l'or rouge, mais le « safran de Cotchia » est le premier à être commercialisé à grande échelle.

150 fleurs

Pour obtenir un gramme de cette coûteuse épice, il faut récolter les pistils de 150 crocus savitus. Éric et Sabine Léonard ont planté 20.000 bulbes sur un terrain de 25 ares. L'année prochaine, ils en planteront encore 40.000 pour atteindre un hectare de surface cultivée. « La superficie maximale pour un couple d'agriculteurs », affirment-ils.

5 ans

Le temps nécessaire pour amortir leur investissement. Un investissement financier colossal, même si les agriculteurs préfèrent rester discrets sur ce sujet. Un bulbe coûte 1 euro. À cela s'ajoutent les frais liés à l'emballage, la modification du sol, l'élaboration de codes-barres, etc. Sans oublier leur salaire. Pour pouvoir en vivre, ils devront en produire 2 kilos. Avec leurs 60 grammes, ils sont encore loin du compte.

100 personnes

En moyenne, selon le type de préparation (sucrée ou salée), un gramme de ce condiment permet de cuisiner pour 100 personnes, voire 150.

 

Une veste bien chaude, un sac de toile, Sabine Léonard est parée pour la récolte. Depuis près d'un mois, au moins deux fois par jour, elle rejoint le champ situé à quelques centaines de mètres de la ferme. Un terrain où sommeillent 20.000 bulbes de crocus savitus, la plante du safran. Ce matin, le butin n'est pas fameux. Seule une dizaine de fleurs mauves ont jailli du sol. Capricieux, le crocus peut fleurir en moins d'une heure. L'agricultrice reviendra jeter un œil fin d'après-midi.

Depuis 4 mois, Sabine et Éric Léonard découvrent le pays de l'or rouge. L'aventure a débuté suite à un reportage diffusé à la télévision, à propos de la culture du safran en France. Pourquoi pas en Belgique ? Le couple de cultivateurs hesbignons tient le pari. En août, ils plantent les bulbes sur une superficie de 25 ares. Il ne restait plus qu'à patienter jusqu'à l'automne.

« Normalement, l'éclosion doit survenir d'un coup, explique Éric Léonard. Mais cette année, à cause de la météo désastreuse, les fleurs apparaissent petit à petit. On constate ce phénomène partout en Europe. » Pour l'instant, ils ont récolté près de 80 % de la production. « On va peut-être devoir ramasser jusqu'en décembre ! », ajoute son épouse.

Après la cueillette, l'émondage. Les agriculteurs disposent de 48 heures pour couper les pistils (les futurs filaments de safran), à la main ou à l'aide d'un ciseau à ongles. Aujourd'hui, c'est Sabine qui s'y colle. Sur une assiette rouge (« pour mieux détecter les parties jaunes, celles qu'il faut éliminer »), elle sectionne délicatement les pistils, à un rythme de 400 fleurs par heure. Prochaine étape : le four, pour une séance de séchage à 45-50º, pendant 30 minutes. Une phase durant laquelle le safran perd 80 % de son volume. Chaque « dose » est ensuite transvasée dans un petit pot, qui attendra minimum un mois dans le noir avant de pouvoir prétendre au titre d'épice.

Une épice qui vaut de l'or : 37 euros le gramme. Les Léonard visent avant tout la qualité. Selon eux, la majorité du safran présent sur le marché serait falsifié. Curcuma, carthame, plume, sable, maïs coloré, brique pilée… Tous les moyens seraient bons pour allonger cette précieuse moisson.

Leur première production a été entièrement rachetée par les magasins ISPC, enseignes destinées aux professionnels de l'horeca. Les premiers pots ne seront disponibles qu'à partir de décembre, mais les commandes affluent déjà.

Ils reçoivent également de nombreux coups de fils d'amateurs ou de curieux. Récemment, ils ont été contactés par un producteur marocain qui s'interrogeait sur le prix pratiqué au kilo. Les agriculteurs n'ont pas pu lui répondre. En 2010, ils espèrent à peine en produire… 60 grammes !

 

Photo Léonard Eric pour les médias

Radio Nostalgie Octobre2010



Mardi 07/12/2010.  actualisation 20:46h.
 

 

 

Une culture de safran en Hesbaye

05/08/2010 13:45:10

Un couple d'agriculteurs de Wasseiges a lancé une culture de safran. Il s'agit d'une expérience unique en Belgique. Pas moins de 20.000 bulbes ont été plantés sur 25 ares, indiquent les quotidiens du groupe Sud Presse.

Les fleurs, à l'origine du safran, sont annoncées pour le mois d'octobre. La récolte du pistil se fera ensuite à la main. Le seul safran "made in Belgium" a été baptisé "Le safran de Cotchia" par ses promoteurs. La Région wallonne va attribuer le label de "centre de référence et d'expérimentation".


Plus de 30€ le gramme de safran

  • Source: L Avenir
  • Emmanuel HUET
Plus de 30€ le gramme de safran

Plus de 30€ le gramme de safran


WASSEIGES - Ils ne sont que trois safraniers en Belgique. Le couple Léonard vient de se lancer dans cette culture très osée et méconnue.

Quand le couple Léonard a voulu se lancer dans la culture du safran, ils ont interrogé leur comptable. Celui-ci s'est inquiété de savoir combien de tonnes ils allaient produire la première année. Éric et Sabine Léonard ont donc expliqué qu'ils allaient en produire environ... 60 grammes en 2010! Petit à petit, les fleurs éclosent et voient le jour sur leur bande de 25 ares. L'or rouge, c'est un travail de longue haleine qui pourra porter ses fruits dans les prochaines années.

Agriculteurs au départ, les deux Hesbignons ont bien rebondi depuis qu'ils ont abandonné les grandes cultures et les bovins. «En 1985, on a repris la ferme avec mon frère. On avait 150 hectares et du bétail. Nous étions une ferme traditionnelle en Hesbaye.» La réforme de la PAC en 1992 a levé une série d'interrogations : «notre premier grand pari, c'est de s'être lancé dans la culture de 25 hectares de cassis.» Mais les prix se sont effondrés avec l'ouverture à l'Est.

En 1993, ils ont ouvert leur boucherie à la ferme et ont approfondi le service traiteur. «La boucherie existe toujours mais on vient de supprimer le magasin. On ne travaille plus que sur commande.» Mais le métier le plus atypique, c'est celui qu'ils ont endossé depuis l'année dernière : celui de safranier. Les Léonard restent ainsi en contact avec la terre. Ils ne sont que trois en Belgique. «Nous avons vu une émission en France. Et voilà un an que nous allons en stage chez Véronique Lazerat, dans le Limousin.» L'année dernière, ils ont planté plusieurs petites parcelles d'essais. Et ils ont franchi un cap en juillet en plantant 20 000 bulbes. C'est à proximité de leur ferme que la fleur de safran est en train de s'ouvrir actuellement.

Trois larges bandes de terres butées sont alignées. Sur chaque bande, trois lignes ont été plantées sous un tapis de copeaux de chanvre. Le terrain est légèrement en pente, de manière à ce que l'eau s'écoule correctement, les buttes sont aussi drainées. «C'est aussi un sol bien placé en zone lumineuse. Le bulbe n'aime pas l'humidité.Le bulbe est compliqué : c'est lui qui décide de s'acclimater au sol en fonction de la météo, de la luminosité...» Le safran, c'est un peu comme la truffe : quelque chose d'insaisissable. Il n'y a pas de règles strictes en matière de culture. Le bulbe nécessite des écarts de température importants entre la nuit et le jour pour sortir et fleurir. Actuellement, la récolte est pauvre car il fait encore trop doux la nuit.

Pour leur première année de récolte, les Léonard espèrent commercialiser environ 60 grammes. C'est très peu. L'année prochaine, ils passeront à un hectare de culture. Une superficie suffisante pour pouvoir en vivre. Chaque bulbe peut donner de zéro à trois fleurs par an. «Et ce qu'on n'aura pas cette année, on l'aura l'année prochaine», espèrent les deux safraniers.

www.safrandecotchia.com 0496/545441

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Le safran cultivé dans notre province

Par sledoux dans RTL Régions , le 29 novembre 2010 11h11

A Wasseiges en province de Liège, un couple vient de finir la récolte de son « safran de cotchia ». Il sera mis en vente en décembre dans un magasin pour restaurateurs…

Si l’on retrouve des traces de culture de safran en France dès les premières croisades, sa culture avait quasiment disparu. Ces dernières années de nouvelles safranières ont vu le jour dans l’hexagone comme en Espagne, et cela a inspiré ce couple de Wasseiges (Sabine et Eric Léonard).

Ils viennent de terminer leur première grosse récolte sur leur 25 ares (20.000 bulbes, ils en planteront 40.000 pour l’année prochaine). La première année, comme c’est leur cas, chaque bulbe peut porter de 0 à 3 fleurs. Il faut récolter ses fleurs pour en extraire les pistils qui devront être séchés pour devenir une épice.

Toute la récolte se fait à la main. Le nettoyage aussi, le séchage aussi, même l’emballage. Ce type de crocus (crocus savitus), qui n’est pas le même que celui que l’on trouve dans les jardins, est une plante tout à fait particulière, qui demande beaucoup d’attention et de vigilance.

Le but est d’atteindre 2kg de safran… (1gr = +/- 37 euros, donc plus de 35.000 euros le kg)… Cette année, ils espèrent… 60gr.

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Le journal Plein Champ du 25 / 11/ 2010

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Myriam Lambillon

La clé des Champs le 30/10/2010 RTBF


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Détail de l'information  
Du safran au goût liégeois

09/11/2010 07h56

A Wasseiges, Sabine et Éric Léonard procèdent à la première récolte du safran. Les premiers pots de cette épice précieuse, leur « safran de cotchia...lire la suite

HO.RE.CA Journal de novembre 2010

Deux fois par an, l’ISPC présente
les nouveautés du secteur horeca.
Ho.Re.Ca. Journal a sélectionné les
plus intéressantes d’entre elles,
pour la saison automne-hiver.
En cette fin d’année, les produits
belges sont manifestement à la mode.
Les rayons des grossistes de l’horeca
proposent ainsi des vins belges, une
bière spéciale belge à l’ail et aux fines
herbes, des biscuits artisanaux de
Destrée et même du safran de Belgique.
La safranière de Cotchia est la première
plantation professionnelle du pays, dont
le succès s’explique par la qualité du sol
argileux de la région de Hesbay.



Mardi 07/12/2010. Dernière actualisation 20:46h. 33.719 lecteurs en ligne

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Une culture de safran en Hesbaye

05/08/2010 13:45:10

Un couple d'agriculteurs de Wasseiges a lancé une culture de safran. Il s'agit d'une expérience unique en Belgique. Pas moins de 20.000 bulbes ont été plantés sur 25 ares, indiquent les quotidiens du groupe Sud Presse.

Les fleurs, à l'origine du safran, sont annoncées pour le mois d'octobre. La récolte du pistil se fera ensuite à la main. Le seul safran "made in Belgium" a été baptisé "Le safran de Cotchia" par ses promoteurs. La Région wallonne va attribuer le label de "centre de référence et d'expérimentation".


Article Le Soir 16.12.2010 - Le luxe liégeois à la cote

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Article Le Soir 16.12.2010 - luxe liégeo
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